Mort-vivant
Quatre heures de l'après-midi
Il fait noir si tôt
Comme si j'avais besoin
D'une autre couche
Les bavures de la tempête
Dévalent le flanc du coteau
Aucun chant d'oiseau pour
Secourir la scène cauchemardesque
Mon chien a succombé
À la déprime, traître maladie
Partout les zombies funambules
Leurs fragiles passions
Soufflées, comme des feuilles d'automne
Nulle part s'en vont et me laissent ici
Des pleurs plein mon lit de mort-vivant
Copyright 2011 Maxime Caron Delamour
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